Rachid le corse

Je suis enfin de retour aux affaires…
Aujourd’hui et demain, Rachid Rhazouani dit “Rachid le corse” passe en procès à Paris…
En janvier 2013, le garcon a joué de malchance, victime d’un “roulottier” (un type qui vole dans les voitures en stationnement) qui lui a fait sa caisse garée dans le 8e. Les policiers témloins du vol interviennent et trouvent dans le véhicule de Rachid un Colt 45 chargé, une paire de gants et deux perruques. Là-dessus, Rachid, connu pour ses liens avec le milieu corse d’où son surnom, est interpellé porteur d’un Glock. Dans la foulée perquise du domicile de sa compagne, ancienne salariée du cercle Wagram, pour lequel Rachid a fait quelques boulots de sécurité. Bref, la perquisition permet de saisir 4 pistolets automatiques, 1 pistolet-mitrailleur, plusieurs centaines de grammes d’explosif, de la mèche lente, deux mètres de cordeau détonant, un gilet pare-balles, une fausse carte de police, une paire de menottes, une fausse carte d’identité, des gants, des cagoules, deux brassards de police et 20.135 euros en liquide. Nouvelle perquisition dans le bar à vins géré par madame : un fusil de chasse, 6 grenades, 4 détonateurs, 3 mètres de cordeau détonant, des milliers de munitions de tout calibre, plusieurs chargeurs, un gilet pare-balles, des gants, des cagoules, des perruques, une fausse moustache et une fausse barbe. Et enfin, dans un box loué par Rachid : 10 gilets pare-balles, une carabine, un fusil à lunette, des talkie-walkies, une quarantaine de téléphones mobiles, 6 clés USB et 2 disques durs externes…